Un nouveau fonds de 10 millions d’euros pour les start-up IoT

Un nouveau fonds de 10 millions d’euros pour les start-up IoT

Start-up IOT : une bonne nouvelle !

Innov8, spécialiste de la distribution des objets connectés et maison mère des magasins Lick, et Crédit Mutuel/CIC s’associent pour accompagner les start-ups françaises spécialisées dans les objets connectés. Dans cet objectif, ils lancent le fonds d’investissement « INVST I/O ». Le fonds, doté de 10 millions d’euros, pourra injecter jusqu’à un million d’euros dans les projets les plus prometteurs.

INVST I/O est également un accélérateur dont le but est d’aider les start-ups à passer de l’idée à la commercialisation. Les start-ups accompagnées pourront ainsi profiter de l’expertise d’Innov8 en matière de distribution et du réseau d’experts investisseurs de CM/CIC Innovation. Un réseau de mentors « allant de l’usage jusqu’au hardware » sera également mobilisé.

La start-up parisienne Ubithings, créatrice de l’objet connecté musical Prizm, qui crée des playlists personnalisées en reconnaissant les personnes présentes autour de lui, est la première à bénéficier de l’aide de ce nouveau fonds.

Source : https://www.usine-digitale.fr/article/innov8-et-credit-mutuel-cic-lancent-un-fonds-de-10-millions-d-euros-pour-les-start-up-iot.N395822

 

4 aides européennes pour les TPE et PME

4 aides européennes pour les TPE et PME

1. Le plan Juncker vise à relancer l’industrie en Europe. Il a pour objectif de mobiliser, via le Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS), 315 milliards d’euros d’investissements de 2015 à 2018. Les projets financés sont le développement d’infrastructures, la recherche et développement et l’innovation, l’investissement dans l’éducation et la formation, la santé, les technologies de l’information et de la communication, ou encore le développement du secteur de l’énergie. Pour en bénéficier, il est possible de passer notamment par Bpifrance.

2. Le programme pour l’emploi et l’innovation sociale (EaSI) prévoit d’améliorer l’accès au financement pour les entreprises sociales. Sous ce programme, des entrepreneurs sociaux peuvent bénéficier de prêts à un taux d’intérêt réduit, sans fournir de garantie. Les objectifs poursuivis sont de renforcer les capacités des organismes de microfinancement et d’appuyer le développement des entreprises sociales, notamment en facilitant leur accès au financement. L’EaSI est géré directement par la Commission européenne.

3. La Commission européenne et le groupe Banque européenne d’investissement (BEI et FEI) ont lancé il y a deux ans une nouvelle génération d’instruments financiers et de services de conseil qui doivent faciliter l’accès au crédit pour les entreprises innovantes : les produits « InnovFin ». Ils interviennent sous plusieurs formes et peuvent accompagner financièrement les PME et les entreprises de taille intermédiaire. La mise en œuvre est assurée par des intermédiaires financiers (Adie, BPCE, Société générale, Banque Populaire, Bpifrance…) qui bénéficieront, à ce titre, de garanties ou contre-garanties du FEI couvrant une partie de leurs pertes financières potentielles.

4. Cosme pour faciliter la croissance des start-up, des TPE et des PME : l’un des principaux objectifs de Cosme est de fournir aux PME un accès amélioré au financement dans les différentes phases de leur cycle de vie : création, expansion ou transfert d’entreprise. Cosme mobilise des prêts et des investissements en capital par l’intermédiaire de deux outils. Le premier programme fournit des garanties aux institutions financières (sociétés de garantie, banques, établissements de crédit-bail). Le second outil fournit du capital aux fonds qui investissent dans les PME principalement au stade de la croissance.

Source : www.chefdentreprise.com – « 4 aides européennes (à connaître) pour les TPE et PME »

Projet de loi Sapin 2 : les 8 nouveautés qui attendent les TPE et les PME

Projet de loi Sapin 2 : les 8 nouveautés qui attendent les TPE et les PME

Le projet de loi Sapin 2, débattu à l’Assemblée nationale du 06 au 09 juin 2016, comprend des mesures visant à libérer la création d’entreprise et alléger la vie des dirigeants de TPE et PME.

1. La validation des acquis de l’expérience est renforcée. L’article 43 du projet de loi Sapin 2 vise directement les très petites entreprises en proposant de supprimer l’exigence de qualification qui existe aujourd’hui pour exercer la plupart des métiers de l’artisanat. Un décret devrait fixer les conditions dans lesquelles une personne qualifiée pourra être autorisée à réaliser des tâches relevant d’un métier connexe.

2.Le stage préalable à l’installation des artisans est maintenu. Le projet de loi initial proposait que les règles du stage préalable à l’installation soient assouplies, avec la possibilité pour les nouveaux artisans de suivre ce stage après l’immatriculation de l’entreprise. Les députés ont réécrit l’article afin que le stage soit bien réalisé avant l’immatriculation. Il devrait obligatoirement débuter dans les 30 jours suivant la demande de stage.

3. La validité des chèques bancaires est réduite à 6 mois. Pour encourager les Français à employer des moyens de paiement plus modernes (cartes, virements, prélèvements), la validité des chèques bancaires pourrait être réduite de douze à six mois.

4. Le projet de loi rebaptise le Livret de développement durable (LDD) en Livret de développement durable et solidaire. Les épargnants auront ainsi, chaque année, la possibilité d’affecter une partie de l’encours de leur LDD à une entité de l’économie sociale et solidaire (ESS), c’est-à-dire à l’ensemble des associations, coopératives, mutuelles, fondations et sociétés commerciales ayant un impact social.

5. Le projet de loi prévoit pour les micro-entreprises, dont le régime fiscal et social est réservé aux activités limitées avec un chiffre d’affaires plafonné, un parcours de croissance facilité. Ces micro-entreprises ne devraient, ainsi, plus être entravées par le franchissement de seuils en chiffre d’affaires (32 900 € pour les activités de service et 82 200 € pour les activités de vente) car la sortie du régime fiscal et social simplifié sera plus progressive. En effet, pendant deux années après le franchissement d’un seuil, les entrepreneurs pourront continuer à bénéficier du régime fiscal et social simplifié de la micro-entreprise.

6. Pour faciliter le démarrage d’une entreprise, les contraintes comptables lors de la création de petites entreprises seront allégées en simplifiant le recours aux commissaires aux apports et en en réduisant le coût. De plus, les micro-entrepreneurs ne seront plus tenus de détenir un compte bancaire séparé. Pour mieux protéger l’entrepreneur dans le parcours de croissance de son entreprise, la conversion du statut d’entreprise individuelle à l’EIRL sera encouragée et facilitée, et l’apport de fonds de commerce d’un entrepreneur individuel vers un autre statut (EIRL, société unipersonnelle) sera simplifié.

7. Le projet de loi s’attache également à simplifier les obligations de publication (reporting) comptable des entreprises, en rationalisant davantage les rapports obligatoires pour plus de lisibilité et de transparence, et en adaptant leur contenu et les procédures de dépôts selon la taille des entreprises. Il simplifie également la prise de décision dans les entreprises et la participation des actionnaires en facilitant les modalités de décisions relevant de la vie courante des sociétés, notamment en encourageant le recours aux procédures dématérialisées. Il est également prévu de reconnaître de nouveaux droits aux associés, y compris minoritaires dès lors qu’ils détiennent au moins 5% du capital, en permettant l’inscription de points à l’ordre du jour des assemblées des sociétés à responsabilité limitée (SARL).

8. Enfin, pour favoriser le rebond des dirigeants ayant connu la liquidation judiciaire de leur société, les condamnations patrimoniales pour faute de gestion pourraient être supprimées. L’examen du projet de loi continue.

Source : https://www.chefdentreprise.com/Thematique/juridique-1055/breves/projet-loi-sapin-nouveautes-qui-attendent-tpe-pme-305861.htm

Radiographie des créateurs d’entreprise en France

Radiographie des créateurs d’entreprise en France

Qui sont les entrepreneurs français ?

L’Insee a dressé un portrait-robot des créateurs d’entreprise, en excluant les autoentrepreneurs. Il en ressort que les personnes ayant fondé leur entreprise au premier semestre 2014 sont en majorité des hommes, qu’ils sont un peu plus âgés qu’en 2010 et qu’ils sont plus diplômés qu’il y a 4 ans. Les français qui se lancent dans la création d’entreprise sont des novices en la matière. Pour 72% d’entre eux, il s’agit de leur première expérience, alors que ce n’était le cas que pour 67% d’entre eux quatre ans auparavant. Ils sont aussi de plus en plus indépendants : 41% des créateurs d’entreprise de 2014 ont monté leur projet seul, contre 28% en 2010. Le commerce est le secteur préféré des nouveaux entrepreneurs français, puisqu’une entreprise créée sur cinq appartient à ce secteur.

Le dynamisme de la création d’entreprise en France ne se dément pas depuis plusieurs années, le nombre de naissances dépassant la barre des 25 000 par mois.

Source : Les Echos – Jeudi 9 juin 2016

The Refiners, le nouvel accélérateur de pépites françaises basé à San Francisco

The Refiners, le nouvel accélérateur de pépites françaises basé à San Francisco

Trois entrepreneurs français implantés à San Francisco : Carlos Diaz, Géraldine Le Meur et Pierre Gaubil, ont décidé de lancer un accélérateur de start-ups françaises basé à San Francisco. Baptisé « The Refiners », il accueillera 12 à 15 start-ups n’ayant pas encore réalisé de levée de fonds, pendant trois mois, deux fois par an. La première promotion commencera en septembre.

L’accélérateur prendra 3 à 7% de leur capital, en échange d‘un chèque de 50 000 dollars pour les aider à démarrer. Un modèle inspiré des accélérateurs américains Y Combinator et 500 Startups, d’où sont sortis Airbnb, Twitch ou Makerbot, mais qui prendra en compte le fossé culturel. Au programme des éléments clefs de la culture de la Silicon Valley, comme la différence entre les fonds de capital-risque français et américains.

Doté de 6 millions de dollars, le fonds est abondé à 60% par une centaine de partners, moitié américains, moitié français, qui endossent également le rôle de mentors. Les 40% restants sont apportés par bpifrance.

Source : Les Echos, le 11 mai 2016

La vente à l’international, presque inexorable pour la French Tech

La vente à l’international, presque inexorable pour la French Tech

Meetic, SeLoger, PriceMinister, aufeminin, Neolane… Et maintenant Withings. La liste des pépites de la French Tech rachetées par des groupes internationaux s’allonge. Pourtant, la « fuite des cerveaux » a rarement eu lieu : ces sociétés continuent de se développer dans l’Hexagone, les acquéreurs leur laissant une autonomie plus ou moins grande.

« Peu importe le pavillon, pourvu qu’il y ait derrière une vraie stratégie, avec Nokia, c’est ce que l’on a privilégié » confie Jean Boursereau, de Ventech, premier investisseur dans Withings, dès 2010.

Existe-t-il des alternatives ? Withings a reçu d’autres offres, mais toutes provenaient de grands groupes technologiques étrangers. « L’important, c’est d’être dans la compétition, explique Jean Boursereau. On ne peut pas rester une société privée, indépendante, trop longtemps si le marché est trop gros : soit on s’adosse à un grand groupe, pour pouvoir peser face à la compétition mondiale, soit on entre en Bourse, mais les conditions actuelles ne sont pas vraiment favorables. Pour Withings, en France, je ne vois pas vraiment quel grand groupe pouvait constituer une solution aujourd’hui ».

L’autre option, lever plusieurs dizaines de millions d’euros pour financer sa croissance internationale, a longtemps été freinée en Europe. En outre, même aux Etats-Unis, ce modèle bat de l’aile et le concept de « licorne », des sociétés privées indépendantes, est actuellement battu en brèche. Les analystes parient sur celles qui seront rachetées par les Gafa (Google, Apple, Facebook et Amazon) et celles qui feront faillite, alors que toutes visaient à terme une introduction en Bourse.

Source : Les Echos du 27.4.16

 

2015, année florissante pour les start-up technologiques

2015, année florissante pour les start-up technologiques

Les jeunes pousses françaises innovent dans les objets connectés ou les assistants vocaux. L’année 2015 a été florissante pour les start-up technologiques. Les incubateurs ont rarement reçu autant de dossiers d’entrepreneurs passés par des cursus scolaires de grandes écoles qui comportent des formations à entrepreneuriat et des incubateurs, ou qui ont connu une première vie professionnelle. L’écosystème français continue de produire son lot impressionnant de start-up autour de quelques pionniers des objets connectés, comme Withings ou Netatmo.

Elles constituent l’essentiel du bataillon de jeunes entreprises qui font désormais le déplacement chaque année au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas, la grande messe mondiale de l’électronique. Autre tendance forte : les assistants vocaux; il y aura l’humain et, en face, beaucoup d’objets connectés avec lesquels il faudra converser, ce sur quoi misent des start-up comme Vocal Apps. A l’évidence, dans ces univers très sophistiqués, les start-uppers français n’ont plus à rougir devant leurs rivaux californiens.

Source : https://www.challenges.fr/start-up/20160408.CHA7593/2015-annee-florissante-pour-les-start-up-technologiques.html

Angelsquare : la plateforme qui rassemble le nec plus ultra des startups et Business Angels français

Angelsquare : la plateforme qui rassemble le nec plus ultra des startups et Business Angels français

La plateforme de mise en relation entre startups et investisseurs, Fundme, annonce aujourd’hui le lancement d’Angelsquare. L’objectif de ce nouvel espace est de permettre aux plus brillantes startups françaises de trouver les Business Angels qui correspondent à leurs attentes, au-delà même d’un apport financier.

Angelsquare rassemble ainsi près de 500 Business Angels de référence, pour la majorité des entrepreneurs à succès ayant déjà réalisé de nombreux investissements dans des startups, et qui veulent partager leur expérience avec les jeunes pousses. Pour intégrer la plateforme, ceux-ci doivent cependant envisager d’investir au minimum 50 000 euros par an, être recommandé par au moins un membre d’Angelsquare, et surtout en partager les valeurs.

De l’autre côté, Angelsquare publie régulièrement des nouvelles startups en phase de levée de fonds, qui sont les plus susceptibles de plaire aux investisseurs, notamment par la force de leur équipe, de leur marché, ou encore de leur composante technologique, afin de les faire matcher avec les Business Angels qui correspondent le mieux à leurs critères : valorisation, ticket d’investissement, rôle du Business Angels, etc.

Depuis son lancement, la plateforme a déjà permis à une cinquantaine de startups de lever des fonds auprès des meilleurs Business Angels, en Seed ou en Série A.

Source : https://www.maddyness.com/finance/2016/04/07/finance-angelsquare-business-angels-francais/

 

Les start-up se tournent vers le B to B

Les start-up se tournent vers le B to B

Depuis le début de l’année, on observe une recrudescence d’indicateurs pour suivre l’actualité des start-up. Le petit nouveau, monté par Capgemini Consulting et eCap Partner, s’appuis habilement sur l’une des définitions les plus strictes du terme : moins de sept ans d’existence, toujours indépendantes et dans le domaine du numérique. Et il en ressort autant de confirmations que d’inflexions importantes.

Tout d’abord, un montant total des fonds levés en 2015 en hausse de 138% par rapport à 2014 soit 1,016 milliard d’euros.

De plus, cet outil permet de mettre l’accent sur la forte poussée du B to B, alors que jusque-là, tous les indicateurs montraient plutôt une appétence générale pour les innovations grand public. 58% des start-up se reposent sur un modèle B to B, et en particulier dans les secteurs de l’industrie et du marketing.

Autre levier qui explique la performance des jeunes pousses françaises, la présence de plus en plus forte des fonds étrangers. En 1 an, ils ont augmenté leur participation de 30% pour compter désormais 14% du montant total des fonds levés.

Les Echos – 25/02/2016

La réduction ISF-PME n’est pas subordonnée au maintien de l’activité de la société pendant 5 ans

La réduction ISF-PME n’est pas subordonnée au maintien de l’activité de la société pendant 5 ans

Le dispositif ISF-PME permet aux redevables qui investissent dans des PME d’imputer sur le montant de leur ISF une partie de leur investissement. Cette réduction est notamment subordonnée à la condition que les titres remis en contrepartie de l’apport soient conservés pendant 5 ans. Cette condition implique-t-elle que la société exerce en continu une activité durant le même période?

Statuant pour la 1ère fois sur cette question, la Cour de cassation considère qu’aucune condition de maintien d’une activité effective en lien avec l’obligation de conservation des titres n’est requise pour l’application du dispositif.

 

En l’espèce, l’administration avait remis en cause la déduction pratiquée par un redevable au titre de la réduction ISF-PME au motif que la société au capital de laquelle il avait souscrit et dont il avait conservé les titres avait cessé son activité au bout de 2 années. La cours d’appel avait donné raison à l’administration.

La doctrine administrative exige, pour l’application de la réduction d’ISF, que la société bénéficiaire des apports exerce une activité éligible pendant 5 ans. Elle prévoit en effet que,

  • La condition tenant à l’exercice à titre exclusif d’une activité éligible par la société bénéficiaire est appréciée à la date du versement et doit être respectée au 1er janvier de chaque année jusqu’à la 5ème année suivant la souscription
  • Le non-respect de la condition d’activité pendant le délai de 5 ans entraine la remise en cause de la réduction ISF

Il semble cependant que cette doctrine se réfère à la nature de l’activité exercée et non au maintien de l’exercice d’une activité durant la période de 5 ans

La décision de la Cour de cassation procède d’une lecture littérale de l’article 885-0 V bis du CGI, lequel ne subordonne la consolidation du bénéfice de la réduction d’ISF qu’à la condition de conservation des titres pendant 5 ans. En jugeant que cette condition a pour corollaire le maintien de l’activité de l’entreprise pendant ce délai, la cour d’appel a ajouté à la loi une condition qu’elle ne comporte pas.

La doctrine exigeant que la société bénéficiaire des apports exerce une activité éligible pendant 5 ans est désormais inscrite dans la loi 2015-1786 du 29 décembre 2015.

La question se pose alors de savoir si, dans le dispositif ISF-PME ainsi réformé, la condition tenant à l’exercice d’une activité éligible doit s’entendre d’une activité qui, si elle est exercée, doit pas nature être éligible sans que son exercice continu pendant 5 ans soit imposé.

Les modifications apportées par la loi du 29 décembre 2015 ont réorienté le dispositif vers le financement des jeunes PME innovantes ayant pour effet d’accroitre le risque de l’investisseur. Remettre en cause la réduction d’ISF en cas de cessation prématurée d’activité pourrait, dans certains cas, se cumuler avec la perte de l’investissement et dissuader ainsi d’investir, compromettant l’objectif poursuivi par le législateur.

Source : https://fusacq.com/buzz/la-reduction-isf-pme-n-est-pas-subordonnee-au-maintien-de-l-activite-de-la-societe-pendant-cinq-ans-a116337.html