Carmine accompagne les PME du pôle de compétitivité Advancity

Carmine accompagne les PME du pôle de compétitivité Advancity

Carmine Capital remporte l’appel d’offres lancé par le pôle de compétitivité Advancity. Carmine devient ainsi le partenaire de référence des entreprises membres du pôle sur leurs problématiques de communication financière. Plus précisément, les équipes aideront PME et start-up dans la préparation de leurs levées de fonds.

Advancity, cluster dédié à la ville durable en France, permet aux entreprises, aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche et aux collectivités territoriales de coopérer et de monter des projets collaboratifs innovants.

La finalité première d’Advancity est de susciter l’innovation en matière d’urbain durable, d’irriguer le tissu industriel francilien de nouvelles compétences et de projets innovants.

Carmine Capital formera les PME et start-up du pôle de compétitivité à l’art du pitching. Cette intervention s’inscrit dans le processus de labellisation des entreprises mis en place par Advancity.

Vers une amélioration des relations entre banques et TPE

Vers une amélioration des relations entre banques et TPE

Dans un rapport remis le 27 juin à Arnaud Montebourg et Michel Sapin, l’Observatoire du financement des entreprises propose des solutions qui visent à améliorer la relation entre les dirigeants de TPE et leurs conseillers bancaires.

Dans ce texte, Jeanne-Marie Prost, présidente de l’Observatoire, propose différentes solutions, à savoir :
–       La possibilité d’obtention d’un entretien avec le directeur d’agence en cas de refus de crédit
–       Un délai de réponse de la banque de 15 jours maximum pour annoncer le verdict lors d’une demande de crédit
–       La mise en place de contrats de 4 ans au même poste pour les chargés de clientèle afin de faire durer la relation avec le dirigeant
–       Une opération de communication visant à mieux sensibiliser les acteurs sur la médiation du crédit
–       La mise en place d’une proposition qui tentera d’améliorer la pertinence des services proposés par le chargé de clientèle, afin que les TPE aient en leur possession les solutions les mieux adaptées à leur situation.

Le sujet du financement des TPE est un point sensible. Même s’il règne un climat d’incertitude dans la relation entre les banques et les petites entreprises, il semblerait que les banques aient fait des efforts avec une progression de 1% à la fin avril des encours de crédits à la destination des TPE, d’après la banque de France.

SDS s’instrumente avec sa levée de fonds

SDS s’instrumente avec sa levée de fonds

Carmine Capital a conseillé le groupe SDS dans le cadre de sa levée de fonds de 1M€ auprès de Banexi Ventures Partners.

 Banexi Ventures Partners annonce son entrée au capital du groupe SDS, spécialisé dans la conception, la fabrication et la commercialisation de produits et composants dédiés aux marchés de  l’instrumentation scientifique.

Cette levée de fonds scelle par la même occasion la fusion des sociétés SDS et IMS, toutes deux dirigées par Bernard Leibovici. Les produits des deux entités se caractérisent par leurs spécifications très pointues, une extrême miniaturisation et des fonctions de connectivité « hard » et « soft » directement intégrées dans les produits qui garantissent la pérennité des solutions métiers des clients.

Cette levée de fonds, d’un million d’euros, permettra au groupe d’accélérer son développement commercial en France et à l’international.

A PROPOS DE CARMINE CAPITAL

Carmine Capital est une banque d’affaires spécialisée dans les opérations de fusions-acquisitions et de levées de fonds pour les TPE/PME.

Dans le cadre de ces opérations, Carmine assiste les dirigeants d’entreprises dans les missions suivantes:

– Evaluation d’entreprises

– Rédaction du business plan et du mémorandum d’information

– Recherche d’investisseurs (business angels, fonds d’investissement,…), de repreneurs (personnes physiques ou entreprises en croissance externe) ou d’entreprises à céder

– Assistance dans les négociations juridiques

Pour plus d’information sur le cabinet : www.carminecapital.com

A PROPOS DU GROUPE SDS

SDS Systems Development & Solutions

Seul concepteur français de convertisseurs et d’alimentations haute tension de faible puissance, SDS développe une large activité de recherche pour se trouver à la pointe mondiale dans son cœur de métier. Les produits de SDS délivrent à partir de tensions d’entrée de 3 à 24 Volts, des tensions de sortie allant de quelques centaines de Volts jusqu’à deux ou trois dizaines de kiloVolts. Ces appareils alimentent en particulier des détecteurs comme des tubes Geiger-Mueller et photo-multiplicateurs ainsi que toutes sortes de dispositifs, partie intégrante d’instruments scientifiques complexes.

IMS Innovation and Measurement Systems

IMS est une société de conception et de fabrication électronique, spécialisée dans le domaine de la radioprotection.

Dans le cadre d’un partenariat scientifique et technologique avec le CEA (Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives) – Centre de Saclay, IMS  conçoit et développe une gamme professionnelle de produits très innovants pour la surveillance, la détection, la localisation et l’identification des substances radioactives et des rayonnements ionisants. Les deux premiers produits sur lesquels IMS fonde son offre sont une Sonde Gamma Intelligente et un Spectromètre CZT.

IMS a pour ambition de fournir des solutions de contrôle de la radioactivité de type plug-and-play, facilement utilisables et mis en œuvre par tout type d’utilisateur. Ces solutions innovantes fonctionnent sur des terminaux du commerce de type PC, smartphones et tablettes et s’insèrent facilement dans les systèmes de supervision des exploitants.

Contacts :

Carmine Capital – www.carminecapital.com

Anne-Laure Beuriot, Présidente – anne-laure.beuriot@carminecapital.com

 

Une opération permet à 20 startups françaises de pitcher devant 30 représentants de fonds étrangers.

Une opération permet à 20 startups françaises de pitcher devant 30 représentants de fonds étrangers.

Ces 17 et 18 juin, 20 entrepreneurs français présenteront leur activité devant des investisseurs venus des quatre coins du globe. Ces jeunes pousses du numérique ont été préalablement sélectionnées par la société Axis Paris, organisateur de l’évènement. Un bon timing puisque se déroule en même temps l’évènement « Futur en Seine », le festival mondial du numérique, organisant entre autres des conférences sur les start up et leur environnement.

Récemment créées, ces start up high tech sont présentes dans les secteurs du e-Commerce, Big Data, e-santé, Cloud ou applications mobiles. Toutes ont besoin de capitaux pour financer leur développement.

Les créateurs français sont contraints d’aller chercher les financements à l’étranger étant donné qu’en France, les fonds d’investissement et réseaux de business angels n’arrivent pas à satisfaire les besoins en fonds propres des entreprises innovantes, qui sont de plus en plus nombreuses.

Cet évènement donne ainsi la possibilité aux investisseurs étrangers de prendre contact avec un maximum d’entrepreneurs en un laps de temps très court. Et, même si ces start up sont dans l’incapacité de trouver des fonds durant cet évènement, elles bénéficieront d’une très bonne visibilité notamment à l’étranger.

Carmine Capital accompagne FeatureMap, une de ces 20 start up, dans son projet de levée de fonds.

Trois conseils pour préparer au mieux la transmission de son entreprise

Trois conseils pour préparer au mieux la transmission de son entreprise

Organiser la cession de son entreprise n’est pas une chose facile. Cela requiert de l’énergie et du temps. Il faut rechercher des repreneurs, rencontrer un avocat, rédiger les documents juridiques, assister aux longues réunions de négociation.

Lorsque le chef d’entreprise vient à décéder, la situation est encore plus compliquée. Cependant, trois outils existent pour anticiper cet événement. Carmine Capital vous les livre :

  • L’assurance homme clef. Elle permet de faire face aux problèmes de trésorerie qui surgissent après le décès du dirigeant. Cette assurance a été conçue pour apporter assez d’argent à l’entreprise pour qu’elle puisse continuer à honorer ses engagements auprès de ses fournisseurs et de ses salariés pendant la période de transition. En général, pour recevoir la somme d’un million d’euros en cas de décès, le chef d’entreprise doit s’acquitter chaque année d’une prime annuelle allant de 1300 à  8500€ selon l’âge de ce dernier.
  • La signature d’un engagement collectif de conservation. Il s’agit d’un document dans lequel les héritiers s’engagent à conserver le pouvoir ou les titres qu’ils reçoivent à la mort du chef d’entreprise suffisamment longtemps pour assurer la transmission de l’entreprise. Par ailleurs, en signant un tel accord, les héritiers peuvent bénéficier d’un abattement de 75% de la valeur de la société lors de sa transmission.
  • La nomination d’un mandataire à effet posthume. Le mandataire à effet posthume (nommé par un acte notarié) est souvent un proche de la famille ayant une connaissance du monde des affaires. Son rôle est d’accompagner les héritiers tout au long du processus de transmission. Le mandat, en général confié 5 ans, permet à celui qui le détient de réaliser des actes de conservation et d’administration sur le capital de l’entreprise. Plus précisément, il permet au mandataire d’exercer la fonction d’associé ou d’actionnaire.

 

La Bourse French Tech : Le nouveau soutien de la BPI dédié à l’innovation non technologique.

La Bourse French Tech : Le nouveau soutien de la BPI dédié à l’innovation non technologique.

Jusqu’alors la France soutenait en majorité les projets qui reposaient sur une innovation technologique, laissant ainsi sur la paille de nombreuses startups prometteuses. En lançant la bourse French Tech le mois dernier, la BPI dévoile son intention de corriger le tir. Désormais, 10 millions d’euros par an seront destinés à soutenir les autres projets innovants mais non technologiques.

Comment ça marche ?

Pour bénéficier de la bourse French Tech, les startups doivent répondre aux critères suivants :

  • Exister depuis moins d’un an
  • Etre immatriculées en France
  • Répondre à la définition européenne de la PME

Certains entrepreneurs individuels pourront également bénéficier de cette bourse à la condition d’être suivis par une structure dédiée à l’accompagnement de projets innovants comme les incubateurs et les pépinières.

Après étude, si l’entrepreneur a su convaincre la BPI, il pourra recevoir jusqu’à 30 000€, une somme modeste certes mais non négligeable pour ceux qui peinent à lever des fonds.

Le Capital Risque retrouve la santé

Le Capital Risque retrouve la santé

Au cours des deux dernières années (2011-2012), le montant des investissements dans le capital risque avait chuté en France au grand dam des entrepreneurs pour qui lever des fonds était devenu un vrai chemin de croix. Cette tendance est cependant en train de s’inverser.  En effet, Chausson Finance a récemment publié un rapport annonçant une croissance de 16% des investissements réalisés en capital risque en 2013.

Cette progression très encourageante s’explique principalement par l’entrée en activité de nouveaux FCPR importants tels que Partech International VI, Ventech Capital, Alven Capital, ou encore 360° Capital Partners qui se sont montrés très actifs.  Les familly offices ont également participé à cette progression. En effet, nombre d’entre eux, s’étaient trop exposés à l’immobilier et aux actions (Cap Horn Invest,  Isai…) et ont décidé d’orienter d’avantage leur stratégie vers le capital risque.

L’année 2013 a aussi permis de confirmer le rôle central joué par la BPI France dans le secteur. Elle y a investi près de 89 millions d’euros, soit deux fois plus que le premier gérant d’actifs Sofinnova Partner. Seul bémol, une grande partie de ce montant a été investie en « late venture », au détriment de l’amorçage et des jeunes start-ups, éternellement délaissées par les fonds d’investissement.

 

Initiative France : une opportunité sur le marché du pré-amorçage

Initiative France : une opportunité sur le marché du pré-amorçage

Pour les jeunes start-ups qui désirent lever des fonds et pouvoir concrétiser leur projet, il est souvent difficile de récolter des sommes importantes. Après avoir investi leurs économies et sollicité leurs familles, les entrepreneurs voient souvent la porte des fonds d’investissement, des business angels et des banques se refermer brusquement, en particulier lorsque le projet n’est encore qu’à l’état d’embryon.

Une solution :

Initiative France, une structure d’aide au financement à garder en tête pour les créateurs. Au travers de ces cinq antennes régionales (Aquitaine Amorçage, PARI en Auvergne, Créalia-Association LRTI en Languedoc-Roussillon, Scientipôle Initiative en Ile-de-France, LMI Innovation dans le Nord-Pas de Calais  et une plateforme nationale Initiative Grandes Ecoles & Université), l’association s’est donnée pour mission d’aider les entrepreneurs en stade d’amorçage à se financer. Plus précisément, il s’agit pour Initiative Finance d’accompagner les créateurs et de leur accorder un prêt d’honneur à titre individuel pour les aider à augmenter leurs fonds propres et plus tard obtenir plus facilement un prêt auprès des banques.

Avant de recevoir l’aide de l’association, le projet est analysé en profondeur par un groupe de chercheurs en université et dans les laboratoires privés, de chefs d’entreprise, et de consultants. S’il est sélectionné, le créateur reçoit une somme allant de 20 000 à 40 000 € en général et de 80 000 à 90 000 € pour les projets industriels. En 2013, le réseau Initiative a ainsi soutenu 427 projets innovation, en accordant 711 prêts d’honneur (661 en 2012), un même projet pouvant rassembler plusieurs créateurs. Tout cela pour un montant global de 13,3 millions d’euros.

Et ce n’est pas tout ! A l’avenir Initiative France ambitionne de créer une dizaine de plateformes!

La banque d’affaires numérique

La banque d’affaires numérique

 Carmine Capital crée un nouveau métier : une banque d’affaires dédiée aux opérations dites « micro et small caps » (start-ups et TPE/PME) grâce à des process et des outils numériques innovants.

 Carmine Capital : une rencontre entre deux expertes de la finance

Il y a deux ans, Anne-Laure Beuriot et Stéphanie Le Beuze se rencontrent chez des amis. Elles discutent de leurs vacances, de leur vie parisienne et enfin de leur job…

Toutes les deux viennent du monde de la finance. Anne-Laure conseille depuis 10 ans des PME dans leurs opérations de fusions acquisitions (cession / transmission et acquisition d’entreprises). Stéphanie structure des opérations de financement complexes (LBO, affacturage, titrisation …) pour le compte de différents établissements bancaires.

En parallèle de leur vie de financières salariées, elles se projettent déjà dans l’entrepreneuriat. Anne-Laure anime son propre réseau professionnel qui réunit des dirigeants et des experts  dont les compétences sont nécessaires à la création et au développement d’entreprises. Stéphanie est business angel et impliquée bénévolement dans plusieurs start-ups innovantes sur des problématiques stratégiques et financières.

Une vision commune : aucune banque d’affaires n’existe pour les start-ups et les petites entreprises

Elles partagent une vision : aucun cabinet de conseil en levée de fonds et en fusions-acquisitions n’existe sur le marché pour les start-ups et les TPE / PME. Les seuls existants facturent des honoraires hors de portée des petites structures.

« Sur la levée de fonds, il existe de multiples indépendants dont le rôle se résume souvent à présenter les start-ups aux quelques investisseurs de leur entourage. En revanche, pas de cabinet structuré offrant un accompagnement global, allant de la réflexion sur le business model, à la stratégie de levée de fonds, en passant par la réalisation du business plan » explique Stéphanie.

« Sur les fusions-acquisitions, le constat était le même. », ajoute Anne-Laure. « Cela est essentiellement lié au fait que les petites entreprises ne sont pas assez rentables pour les banques d’affaires établies. »

Le défi : créer des outils permettant d’adapter les processus aux petites entreprises

Partant de ces constats, Anne-Laure et Stéphanie créent Carmine Capital et se lancent dans l’entrepreneuriat. Leur ambition : développer une plateforme internet permettant de gagner du temps sur les processus automatisables, afin de se concentrer sur le conseil et l’assistance à haute valeur ajoutée auprès des dirigeants.

« Nous avons beaucoup investi dans nos outils numériques, car nous sommes persuadées que l’avenir de la banque d’affaires passera par le recours aux moyens numériques modernes. » ajoutent les fondatrices.

Des résultats concrets

Depuis l’inauguration de la plateforme, rien ne les arrête, pas même l’arrivée de leurs bébés, qu’elles ont eus à 3 mois d’intervalle !

Carmine Capital a déjà réalisé plusieurs opérations de levée de fonds et de cession pour des start-ups et petites entreprises totalisant plusieurs millions d’euros en à peine quelques mois.

Depuis, le nombre de clients est en croissance exponentielle et l’équipe s’est renforcée, avec l’arrivée de 2 collaborateurs.

 

Une mesure fiscale exceptionnelle en faveur de l’investissement dans le capital des PME innovantes.

Une mesure fiscale exceptionnelle en faveur de l’investissement dans le capital des PME innovantes.

Le gouvernement l’a approuvé ! Les sociétés soumises à l’IS pourront bénéficier de conditions d’amortissement exceptionnelles sur 5 ans lorsqu’elles investiront dans le capital d’une PME innovante, directement ou par l’intermédiaire d’un fonds.

Une entreprise est considérée comme PME innovante par la BPI si elle répond aux critères suivants :

  • Posséder les caractéristiques d’une PME : avoir moins de 250 salariés et, soit un chiffre d’affaires inférieur à 50 M€, soit un total de bilan en dessous de 43 M€ ;
  • Posséder l’une des deux caractéristiques suivantes :

Avoir réalisé des dépenses de recherche représentant au moins 15% des charges déductibles au cours de l’exercice précédent ou 10% pour les entreprises industrielles

Etre en mesure d’attester de la création d’un produit, d’un procédé ou d’une technique innovante qui possède des perspectives de développement économique certaines et le besoin de financement en relation.

Pour pouvoir bénéficier à l’avenir de l’amortissement sur 5 ans, les entreprises qui investissent doivent respecter les deux conditions suivantes:

  • Ne pas devenir majoritaire au capital de la PME et ne pas dépasser directement ou indirectement plus de 20% du capital ou des droits de vote
  • Rester au capital de l’entreprise  pendant une durée  minimum de deux ans.

Le bémol : Etant donné que cette disposition s’assimile à une aide d’Etat, son application est soumise à l’approbation de la Commission Européenne. La procédure peut durer jusqu’à dix-huit mois et il faudra encore attendre un délai de 6 mois après réception de la réponse de la Commission pour que le dispositif entre en vigueur. Les start-ups qui désirent procéder à une augmentation de capital et à une levée de fonds devront donc se montrer patientes.

 

 

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