Soirée du Cercle Carmine : l’esprit de décision par la magie

Soirée du Cercle Carmine : l’esprit de décision par la magie

Après une première soirée exceptionnelle animée par Johann Bayle, magicien-conférencier, nous avons réunis hier soir les membres du Cercle Carmine pour une conférence interactive autour d’une thématique chère à nos clients entrepreneurs : Comment prendre les bonnes décisions dans l’incertitude, ou lorsque le temps nous manque ?

Aux côtés de Johann pour l’occasion, Pierre Bayle, un ancien préfet pour qui la capacité à décider fut déterminante tout au long de sa carrière et qui a partagé avec nous quelques-unes de ses expériences.

Nos invités sont repartis avec des clés applicables dans leurs challenges professionnels et personnels, pour décider avec succès et assurance.

A très bientôt pour une nouvelle soirée du Cercle Carmine qui sera, nous l’espérons, en présentiel !

Carmine Capital accompagne Willing à l’occasion de l’entrée de Re-Sources Capital à son capital

Carmine Capital accompagne Willing à l’occasion de l’entrée de Re-Sources Capital à son capital

Fondé en 2016 par Benjamin PROVOST et Cyril VEGNI, Willing est un acteur innovant et haut de gamme dans le métier du conseil en transformation et performance. Depuis sa création, Willing affiche une croissance très soutenue – après avoir réalisé un chiffre d’affaires de 7,5 m€ en 2019, le management prévoit un chiffre d’affaires 2020 de plus de 10 m€.

Déjà implanté à Toulouse, Paris et Lille, Willing entend poursuivre sa croissance pour devenir un acteur de référence sur son marché. L’entrée de Re-Sources Capital dans le capital du groupe va permettre aux actionnaires d’accélérer leur stratégie de croissance avec notamment l’intensification de son déploiement commercial et le renforcement de son positionnement national (ouverture de nouvelles agences à Bordeaux et Nice avant la fin de l’année).

Intervenants sur l’opération
Associés fondateurs : Benjamin PROVOST, Cyril VEGNI
Investisseur, Re-Sources Capital : Romain RASTEL, Hélène BARGHI

Banques
Caisse d’Epargne Hauts de France, Cyril LABADIE
Caisse d’Epargne Roussillon, Henri-Pierre GASTON

Conseils
Conseil M&A : Carmine Capital, Anne-Laure BEURIOT, Clément RICHARD
Conseil Juridique (Willing) : UGGC Avocats, Edouard HELIOT
Conseil Juridique (Re-Sources) : Lamartine Conseil, Fabien Mauvais, Chiara DIMBERTON
Conseil Financier : Deloitte, Xavier BARON

A propos de Re-Sources Capital
Créée en 2014, Re-sources Capital est une société de gestion entrepreneuriale et indépendante détenue par son équipe de direction. Re-sources Capital a vocation à accompagner des entreprises (PME) et des dirigeants dans leurs opérations de croissance et de transmission en leur apportant les fonds propres nécessaires, mais aussi les compétences humaines au travers de l’équipe de gestion, des souscripteurs, dirigeants ou entrepreneurs de son écosystème. Re-sources Capital investit dans tous types de secteurs d’activités, pour des montants initiaux généralement compris entre 0,7 et 4 M€. Plus d’informations sur www.re-sources-capital.fr

À propos de Willing
Willing est un cabinet de conseil opérationnel intervenant au croisement du conseil stratégique et du conseil en ingénierie. L’ADN de la société repose sur 3 axes fondamentaux : (i) une équipe qualifiée et engagée, (ii) une offre de service à forte valeur ajoutée orientée performance et (iii) une structure à la fois solide et agile.

Pour en savoir plus sur cette opération, contacter Anne-Laure Beuriot.

Prêts participatifs : n’oublions pas les petites entreprises

Prêts participatifs : n’oublions pas les petites entreprises

Opinion | Prêts participatifs : n’oublions pas les petites entreprises

Le gouvernement avance sur la création d’un dispositif de prêts participatifs de 20 milliards en soutien de la relance économique. Dans une tribune aux Echos, Germain Simoneau de la CPME propose une évolution du dispositif pour toucher les petites entreprises.

Bercy annonce un niveau de garantie de l’Etat sans précédent sur un instrument de quasi-fond propre, mais l’initiative pourrait manquer sa cible si nous nous contentons d’attendre. Le ministère de l’Economie et des Finances avance à grands pas sur la création d’un dispositif qui permettra aux banques et aux sociétés de gestion de distribuer 20 milliards de prêts participatifs en soutien de la relance des entreprises et de l’économie.

Tout le monde s’accorde sur l’objectif d’un tel mécanisme qui consistera à aider des entreprises affaiblies par la crise à rebondir et à investir en améliorant leur haut de bilan. A l’heure où les bilans dégradés de 2020 limiteront la capacité d’endettement des TPE-PME, les contraintes techniques et financières qui encadrent la construction de ces prêts participatifs pourraient conduire à l’élaboration d’un produit trop élitiste. Son accès serait alors de facto limité aux entreprises les mieux notées, qui peuvent pourtant disposer, par ailleurs, de solutions de financements alternatives sur les marchés bancaires ou privés.

Exercice d’équilibriste

Pour mieux appréhender les enjeux, rappelons que le niveau exceptionnellement élevé de la garantie de l’Etat, soit 35 % selon les dernières annonces, viendra créer un très fort effet de levier en constituant un amortisseur puissant pour le coût du risque. Ce niveau de protection doit aussi favoriser une notation financière des prêts participatifs mieux corrélée aux contraintes prudentielles des investisseurs. C’est important car les investisseurs institutionnels comme les assureurs ou les banques notamment, devront conserver une partie du risque des prêts distribués. De la même façon, la marge complémentaire dégagée grâce à ce fort niveau de garantie pourrait permettre d’optimiser le prix des financements pour les entreprises ou entraîner une plus grande prise de risque au bénéfice d’entreprises moins bien notées. Elle pourrait aussi compenser un coût de gestion interne plus onéreux pour les gestionnaires de ces produits, et ainsi ouvrir la voie à une distribution granulaire de plus petits prêts qui concerneraient un plus grand nombre de bénéficiaires. Il s’agit donc d’un exercice d’équilibriste propre à faire renoncer le meilleur alchimiste, le tout dans un contexte politique sous haute pression.

Ticket minimum

Prêts participatifs : les PME proposent de payer plus pour convaincre les investisseurs C’est bien aujourd’hui, à l’heure de la structuration du produit, qu’il faut arbitrer entre ces différentes options : un prix plus avantageux mais moins de risque ou un coût de gestion optimisé, mais moins de bénéficiaires ? Dans un contexte où les opportunités d’investissement se feront rares et où la liquidité reste abondante, la réponse pourrait peut-être se dessiner d’elle-même. Notamment si l’on considère que les entreprises qui disposeront du meilleur potentiel de rebond présenteront des perspectives de croissance suffisamment attractives pour motiver les investisseurs privés. Alors que dans le même temps, de plus petites entreprises, moins lisibles, moins bien outillées et moins bien informées verront leur accès au financement et leur capacité d’investissement se tendre comme jamais. Vu sous ce prisme, il est a minima indispensable que ces prêts participatifs puissent être accordés dans le cadre d’une analyse du risque qui surpondérera la cotation Banque de France 2019 des entreprises et aussi et surtout, leur capacité de rebond. De même, et si nous ne voulons pas exclure les entreprises de proximité, le ticket minimum devrait être fixé aux alentours de 250.000 euros ou 300.000.

Solidarité interentreprise

Enfin, en contribuant à hauteur de 35 % par sa garantie, l’Etat nous oblige et peut-être nous invite, nous entrepreneurs, à faire notre part en nous appropriant ce dispositif ! D’ailleurs, nous pourrions proposer de le faire évoluer pour y ajouter une notion de solidarité interentreprise et donner plus de puissance et d’effet au dispositif : Le taux des prêts participatifs sera composé d’un taux de base auquel s’ajoutera le taux de rémunération de la garantie de l’Etat, qui pourrait être modulé en fonction de la notation de l’entreprise. Pourquoi donc ne pas proposer d’ajouter à ce prix de base, une contribution complémentaire de solidarité (1,5 à 2 % par hypothèse) en contrepartie d’un élargissement des critères d’accessibilité ? Un tel effort de solidarité interentreprise qui amènerait les plus forts à soutenir les plus faibles, profiterait au plus grand nombre et surtout bénéficierait à tous car cela accélérerait notre relance et créerait un avantage compétitif certain pour notre économie !

Germain Simoneau est le président de la commission financement des entreprises de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).

Carmine Capital consolide sa capacité d’accompagnement à l’international !

Carmine Capital consolide sa capacité d’accompagnement à l’international !

Mariia Krasnikova rejoint l’équipe de Carmine Capital en tant que chargée d’affaires. De nationalité Russe, Mariia parle 5 langues et confirme la légitimité de Carmine Capital sur les opérations transfrontalières.

Forte d’un double cursus franco-russe (ESSEC et PLEKHANOV RUSSIAN UNIVERSITY OF ECONOMICS) et d’un Master en finance à SKEMA, Mariia a débuté son parcours en audit chez Ernst & Young (Moscou) et John Deere. A partir de 2017, elle enrichit son parcours par des expériences opérationnelles en Private Equity chez Absolute Investment (Moscou) puis en M&A chez Financière de Courcelles et My Money Bank.

Dirigée par Anne-Laure BEURIOT et Germain SIMONEAU, Carmine Capital, banque d’affaires indépendante spécialisée sur le segment Small-Cap s’appuie désormais sur un effectif de 10 personnes.

Soirée du Cercle Carmine : quand la magie inspire l’entreprise…

Soirée du Cercle Carmine : quand la magie inspire l’entreprise…

Nous avons créé il y a quelques mois le Cercle Carmine, un réseau au sein duquel nos clients, entrepreneurs, partagent leurs expériences, échangent sur leurs problématiques, leurs ambitions, leurs craintes, leurs passions et ainsi tissent des liens durables fondés sur un ADN commun : l’entrepreneuriat.

Après une première soirée estivale au Jardin des Tuileries, nous avons réuni hier soir les membres du Cercle autour d’un concept original, animé par Johann Bayle, magicien-conférencier. Son talent est d’utiliser la magie pour inspirer l’entreprise.
Un doux mélange de réflexions personnelles, de discours inspirationnel et de magie, autour d’une thématique bien d’actualité : « Transformer nos contraintes en opportunités » !

« Originale, intelligente, ludique et inspirante » sont les propres mots de nos invités pour qualifier cette expérience.

«Le PGE devrait être considéré comme un prêt de consolidation»

«Le PGE devrait être considéré comme un prêt de consolidation»

Le ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire, a annoncé le 29 octobre dernier un renforcement de l’arsenal d’aides aux entreprises proposé depuis le printemps dernier. Que pensez-vous de ce nouveau plan ? 

Ce plan est essentiel pour espérer limiter un grand nombre de défaillances d’entreprises. La plupart des dispositifs créés lors de la première vague de l’épidémie de la Covid-19 ont été améliorés. Je pense notamment au fonds de solidarité, qui permet désormais à un plus grand nombre d’entreprises d’y accéder grâce au relèvement du seuil de salariés à 50 salariés, contre 10 au mois de mars. De plus, le gouvernement permet aujourd’hui une aide pouvant atteindre jusqu’à 10 000 euros (elle était de 1 500 euros au printemps). Un effort important et bienvenu de la part de l’Etat, même si ce montant sera plus significatif pour une TPE de 10 salariés que pour une PME qui emploie 50 salariés.

La décision du gouvernement de prolonger le délai de demande des prêts garantis par l’Etat (PGE) jusqu’au 30 juin 2021 va permettre aux entreprises d’utiliser ces six mois supplémentaires pour solliciter un prêt – pour celles qui ne l’ont pas encore fait –, ou pour compléter celui qu’elles avaient déjà obtenu, dans la limite du plafond autorisé par le dispositif.

L’autre bonne nouvelle du nouveau dispositif proposé par Bercy est la possibilité pour les entreprises de demander un différé de début de remboursement du PGE d’un an supplémentaire, même si celui-ci ne sera accordé qu’à celles qui pourront démontrer leur capacité à rebondir après la crise.

Que propose la CPME pour permettre aux entreprises de survivre à la crise économique ? 

Nous devons déjà nous positionner dans une logique de relance. Pour cela, nous poussons auprès de l’Etat l’idée de supprimer le plafonnement de 35 % du chiffre d’affaires du PGE, ce qui permettrait aux entreprises de considérer le dispositif comme un prêt de consolidation. En effet, avec les différents reports de paiements autorisés (charges sociales et fiscales, loyers…) depuis le premier confinement, les entreprises se retrouveront, au moment de la reprise économique, avec une sorte de mur d’échéances à honorer. Or, beaucoup d’entre elles ne seront pas en capacité de payer. Aussi, nous souhaiterions que les entreprises puissent utiliser le PGE ou souscrire un complément de PGE afin d’éponger immédiatement ces dettes, et demander ensuite un amortissement de remboursement (cinq ans) afin de leur laisser le temps de rembourser ce nouvel emprunt tranquillement.

En effet, la crise va provoquer une chute de réserve de trésorerie des entreprises, qui à moyen terme vont devoir refinancer leurs besoins en fonds de roulement. Or il leur sera très difficile d’accéder à un nouveau financement en raison de leurs mauvais résultats et, par ricochet, de la dégradation de leurs notations financières par la Banque de France ou les assureurs-crédit. En conséquence, des entreprises pourtant viables auront des difficultés à se relancer faute d’accès à des prêts.

Pensez-vous que les banques continueront à jouer le jeu des PGE ? 

Depuis le début de la crise économique, l’ensemble du système bancaire français s’est montré admirable dans sa solidarité avec les entreprises. Toutefois, le PGE n’est pas une subvention, il reste un prêt bancaire accordé aux entreprises qui ont une véritable chance de survie. Il ne faut pas non plus oublier que les banques, indépendamment de leur volonté, sont soumises à des règles prudentielles qui les limitent dans leur prise de risques. Or si l’Etat se porte garant (à 90 % pour les petites entreprises et à 70 % pour les plus grandes) sur le PGE, les banques conservent une part de risque sur le pourcentage restant. Il existe donc aujourd’hui un vrai sujet d’inquiétude sur leur capacité à suivre le mouvement adopté au printemps sur la distribution du PGE.

 

Carmine Capital s’étoffe avec le recrutement de deux nouveaux chargés d’affaires

Carmine Capital s’étoffe avec le recrutement de deux nouveaux chargés d’affaires

Carmine Capital renforce ses équipes avec l’arrivée de Dimitri GOMEZ et Max LEBOEUF en tant que chargés d’affaires. Diplômé de l’EM Lyon (MSc Finance), Dimitri rejoint Carmine Capital après plusieurs expériences en M&A, notamment chez Neuflize OBC et Raphaël Financial Advisory. Ce recrutement s’ajoute à celui de Max, Diplômé de l’Université Panthéon-Assas et d’un Master en Corporate Finance de l’INSEEC. Max a commencé son parcours en 2016 au sein de l’équipe dédiée au financement de projets du Groupe Crédit du Nord avant de rejoindre en 2018 le fonds d’investissement du Groupe (Etoile Capital).

Dirigée par Anne-Laure BEURIOT et Germain SIMONEAU, Carmine Capital, banque d’affaires indépendante spécialisée sur le segment Small-Cap s’appuie désormais sur un effectif de 10 personnes.

Carmine Capital accompagne Silkhom à l’occasion de l’entrée de Garibaldi Participations à son capital.

Carmine Capital accompagne Silkhom à l’occasion de l’entrée de Garibaldi Participations à son capital.

 

Fondée à Lyon par Thomas Baverel en 2013, l’entreprise Silkhom est très active dans le domaine du recrutement de profils techniques expérimentés, mais également dans les prestations freelances de plus en plus plébiscitées par les entreprises françaises.

Le paradoxe est tel que les offres d’emploi dans les secteurs informatiques et technologiques fleurissent de toute part. Pourtant, la rareté des profils candidats engendre une complexité de marché où l’offre dépasse largement la demande.

Silkhom œuvre en ce sens pour répondre aux besoins en recrutement de toutes structures (PME/ETI, grand groupe, startup) évoluant dans ces domaines sectoriels en pleine expansion (Développement Logiciel, Web & Mobile, Cloud/Infra/DevOps, ERP/BI/CRM, Logiciel embarqué, Électronique, Robotique, etc.).
La forte légitimité de l’entreprise réside dans son organisation en practice avec des consultants spécialisés par technologie et par zone géographique et des chargés de recherche à l’affût des candidats potentiellement à l’écoute du marché.

Après avoir réalisé un chiffre d’affaires 2019 de plus de 4 millions d’euros, Silkhom entend bien poursuivre cette dynamique de croissance avec l’entrée à son capital de Garibaldi Participations, filiale de capital investissement de la Banque Populaire Auvergne Rhône-Alpes et garant des valeurs d’engagement et de proximité des entreprises de la région.
Cette décision s’installe dans le prolongement de la stratégie de l’entreprise de se développer davantage et de renforcer son positionnement national. Rappelons que Silkhom fait partie intégrante des 50 entreprises à plus forte croissance en France mais également des 260 entreprises au niveau européen (Classement les Echos / Financial Times 2020).

L’intervention minoritaire de Garibaldi Participations, intermédiée par Carmine Capital, va permettre d’accélérer, faciliter et sécuriser le développement de Silkhom afin de permettre au cabinet d’atteindre ses ambitions et de se placer comme référent incontournable du recrutement informatique français sur le long terme.

Laurent GELPI, Directeur Général de GARIBALDI PARTICIPATIONS, annonce :

« Nous sommes convaincus du fort potentiel de SILKHOM, active sur les marchés en tension de l’IT. L’agilité des équipes et la vision de Thomas BAVEREL permettent une adaptation continue aux nouveaux métiers et usages des clients. »

Thomas BAVEREL, fondateur et dirigeant de SILKHOM :

« Garibaldi Participations accompagnera SILKHOM avec une participation minoritaire, dans le respect des fondamentaux de l’entreprise. Nous partageons les mêmes valeurs de proximité et d’écoute, dans un objectif commun de poursuite du développement et de création de valeur. »

Pour en savoir plus sur cette opération, contacter Anne-Laure Beuriot.

 

Soirée du Cercle Carmine sous les marronniers des Tuileries

Soirée du Cercle Carmine sous les marronniers des Tuileries

Tu tires ou tu pointes ?

 

Tel était le thème de la première rencontre du Cercle Carmine, qui s’est déroulée hier soir au Jardin des Tuileries.

Une soirée estivale qui fut l’occasion pour les membres du Cercle de se rencontrer.
Cinq terrains de pétanque éphémères avaient été installés pour l’occasion par les « Gentlemen Pétancoeurs », donnant lieu à des échanges animés entre nos invités !

Convivialité et bonne humeur étaient au rendez-vous pour cette première soirée qui en annonce d’autres, toutes aussi riches en rencontres.
Bravo à nos champions de pétanque !

Lancement du Cercle Carmine, un réseau dédié à nos clients

Lancement du Cercle Carmine, un réseau dédié à nos clients

Cette période de confinement nous a permis de lancer un projet auquel nous pensons depuis longtemps : le Cercle Carmine.

Le Cercle Carmine, un espace d’échange et de collaboration

Au  sein de ce réseau, nos clients, entrepreneurs, pourront partager leurs expériences, échanger sur leurs problématiques, leurs ambitions, leurs craintes, leurs passions. Ils pourront ainsi tisser des liens durables fondés sur un ADN commun : l’entrepreneuriat.

Dans un premier temps, circonstances obligent, le Cercle Carmine sera animé à distance, à travers une plateforme dédiée. En espérant pouvoir très rapidement nous retrouver physiquement !

Le Cercle Carmine sera résolument restreint afin que chacun puisse se connaître et échanger en toute confiance. Notre plateforme nous permettra de publier régulièrement des portraits de nos membres, des sondages et des articles sur des sujets d’actualité. Dès que cela sera possible, nous organiserons des événements : tables rondes thématiques, soirées networking, etc.

Pour en savoir plus sur Le Cercle Carmine, contacter Anne-Laure Beuriot.