Pour Carmine Capital, ouvrir de nouveaux bureaux à Lausanne et Montréal répondait à une exigence : accompagner la croissance externe et le développement international de nos clients.
Chefs d’entreprise nous-mêmes, l’expérience nous a appris qu’aller chercher la croissance et le développement hors des frontières françaises et européennes ne va pas toujours de soi.
Pour viser l’Asie, l’Afrique ou l’Amérique du Sud, encore faut-il parvenir à sortir de sa zone de confort.
Croire en ses valeurs.
Faire preuve d’audace entrepreneuriale.
Et savoir s’entourer de partenaires solides pour arpenter avec confiance ces nouveaux chemins.
Croissance externe à l’international : de quoi parle-t-on ?
Quels que soient la taille et le métier de l’entreprise, il s’agit toujours pour celle-ci d’acquérir, rapidement, un savoir-faire, une compétence ou une clientèle qu’elle ne peut développer ni seule, ni dans un délai court, ni au regard de sa situation de marché. La croissance externe, c’est choisir de racheter une organisation, une équipe et des clients au lieu de les développer soi-même, avec les aléas inhérents à toute aventure en solo.
Pour les avoir accompagnées à l’international depuis deux décennies, je suis convaincue qu’aujourd’hui les PME et ETI françaises doivent sortir des frontières de l’Hexagone pour se développer dans les régions du monde qui conjuguent croissance, dynamisme démographique et culture de l’audace entrepreneuriale. A condition de croire en leurs valeurs, en la solidité de leur modèle et de leur organisation. Mais aussi de se défaire de cette véritable « culture de la sécurité » qui, trop souvent sur le Vieux continent, bride le désir d’entreprendre.
La peur est toujours mauvaise conseillère. Oui, aller à l’international représente un investissement conséquent. Oui, sortir de son pré carré fait, toujours, courir un risque. Mais non, cette aventure n’est pas l’apanage des seules grandes entreprises : accompagnées des bons partenaires, les PME et ETI peuvent identifier, auditer et intégrer des cibles solides, dont l’acquisition diluera leur risque sur leurs marchés d’origine.
Croître à l’international n’est pas un luxe. Il en va de la pérennité de nos entreprises. Si celles-ci ne se déploient pas sur les régions à fort potentiel, d’autres le feront à leur place. Finalement, ce seront les entreprises tricolores qui seront absorbées par leurs concurrentes étrangères.
Comment bien s’entourer pour réussir ?
Choisir Carmine Capital pour son opération de croissance externe à l’international, c’est se donner les moyens d’identifier précisément la société ciblée. De valider, grâce à la séniorité de nos équipes, l’intérêt réciproque entre l’entreprise acquéreuse et l’entreprise qu’elle veut racheter. De sécuriser une opération financière complexe, d’autant plus stratégique qu’il s’agira bien souvent, pour les PME et ETI, de la seule acquisition qu’elles mèneront. De s’assurer que les visions stratégiques sont alignées.
Et l’aventure ne s’arrête pas là. Pas d’acquisition à l’international sans s’appuyer en effet, pour l’audit et l’intégration, sur de solides partenaires locaux. S’entourer de compagnons de route fiables est nécessaire pour évaluer la pertinence d’un nouveau marché. Pour objectiver sa démarche d’expansion géographique. Pour se poser les bonnes questions. Et trouver les bons interlocuteurs : conseils en implantation d’activités, experts comptables, auditeurs, investisseurs, avocats…
En complément, les entreprises françaises peuvent utilement s’appuyer sur un écosystème particulièrement favorable au développement international : chambres de commerce et d’industrie françaises à l’étranger, Bpifrance, Business France… Tous les acteurs de la Team France Export sont là pour aider les entreprises tricolores à briller à l’international : sachons mettre à profit leur expertise !
Plonger dans l’océan bleu
Si l’aventure internationale est assurément un défi, je suis persuadée qu’il vaut la peine d’être relevé. Les entrepreneurs que nous sommes se reconnaissent à l’audace d’aller sur des marchés à forte croissance, où les entreprises françaises sont encore absentes. A leur envie de plonger dans « l’océan bleu », cet espace stratégique inconnu, encore non exploité. Plonger avec audace… et en toute sécurité.