Setubio lève des fonds avec Carmine Capital

Setubio lève des fonds avec Carmine Capital

Spécialisée dans le screening à haut débit des ressources naturelles, SETUBIO est une société qui place l’innovation au cœur de sa stratégie de développement. En effet, les propriétés antimicrobiennes, antiparasitaires et prébiotiques découvertes sur les plantes, micro algues et molécules deviennent, grâce à SETUBIO, des principes actifs innovants appliqués à divers marchés comme la santé, la cosmétique, la nutrition, l’hygiène ou encore l’agriculture.

Créée en 2006, la société SETUBIO a connu un développement continu avec la brevétisation  des premiers principes actifs découverts, la commercialisation de produits issus de la recherche interne, et aujourd’hui la levée d’un million d’euros auprès d’un FCPI (Fonds Commun de Placement dans l’Innovation) et auprès d’investisseurs privés. Cette dernière opération, initiée par Carmine Capital et gérée par ARKEON FINANCE permettra à SETUBIO de se développer commercialement, au plan national comme au plan international, et de renforcer les équipes techniques, commerciales et marketing.

Carmine Capital

Grâce à son expertise et à ses outils technologiques, Carmine Capital accompagne start-ups et petites entreprises dans leurs projets de levée de fonds, cession ou acquisition.

Prêt à l’Industrialisation des Projets

Prêt à l’Industrialisation des Projets

Prêt à l’Industrialisation des Projets Issus des Pôles de Compétitivité par BPIFRANCE

Aujourd’hui la levée d’un million d’euros auprès d’un FCPI (Fonds Commun de Placement dans l’Innovation) et auprès d’investisseurs privés. Cette dernière opération, initiée par Carmine Capital et gérée par ARKEON FINANCE permettra à SETUBIO de se développer.

L’essentiel à savoir sur le PIPC

Le PIPC  est un prêt que la BPI FRANCE attribue aux PME et aux ETI qui ont achevé un projet de Recherche & Développement. Ce prêt d’un montant compris entre 0,5 et 5 millions d’euros est remboursable dans un délai de 7 ans, avec un différé de remboursement de 2 ans.  Il est destiné à financer toutes les dépenses liées à la commercialisation et l’industrialisation d’un produit issu d’un projet de Recherche et de Développement.

 

 

Les grands groupes à la rescousse du capital risque français

Les grands groupes à la rescousse du capital risque français

Le nouveau dispositif fiscal en faveur du capital risque va permettre d’augmenter de 30% le financement d’entreprises innovantes par les grands groupes.

En effet, les règles d’amortissement que prévoit cette mesure seraient intéressantes : les investissements pourront être amortis sur cinq ans. Cela donne une réelle raison d’investir aujourd’hui dans le corporate venture, dont le manque de rentabilité rend les levées de fonds rares.

Le secteur à la peine qu’est le capital risque devrait ainsi retrouver un dynamisme, lui qui subsiste en grande partie grâce aux investissements du secteur public (dont proviennent 29,5% des fonds levés depuis 2008).

Quelles sont les modalités de ce projet ? Les entreprises pourront investir de manière directe ou via des fonds à hauteur de 1% de leur capital dans des PME (CA < 50M€, effectif < 50 employés) qui consacrent au moins 15% de leur dépenses à la recherche ou qui disposent du label de la Bpi « produits innovants », et ce pour une durée minimum de deux ans. L’augmentation de capital ne pourra donner lieu à une cession de parts supérieure à 20% du capital total de la jeune pousse.  Une fois le rythme de croisière atteint, cela devrait dégager un investissement de 600M€ annuels pour les start-ups et les PME. Le Medef soutient évidemment cette mesure qui devrait ouvrir la porte à des partenariats forts entre chefs d’entreprises et investisseurs.

Traverser la vallée de la mort : un défi pour les entrepreneurs

Traverser la vallée de la mort : un défi pour les entrepreneurs

Qu’est-ce que la vallée de la mort?

La référence à ce désert californien est bien choisie pour désigner ce qui s’apparente également à une course contre-la-montre. La vallée de la mort est ce point de passage obligatoire que toute entreprise doit traverser après une première augmentation de capital (apports personnels, love money, aide à la création, business angels ou encore premier tour de table). Et nombre d’entre elles ne parviennent jamais au bout, s’échouant dans une sorte de cimetière d’entreprises qui ne cesse de grossir.

Les premiers investissements se fondent sur la promesse d’une rentabilité future : on évalue la start-up ou la PME, on se projette de quelques années dans le futur et on prend sa décision. Les investissements qui suivent dépendent, eux, de la réalisation des objectifs premiers, donc de la preuve d’une certaine rentabilité de l’entreprise. Il est donc nécessaire pour l’entrepreneur d’anticiper la deuxième levée de fonds dès la première afin de dépenser le cash levé, certes, mais de le dépenser à de bonnes fins. Car il s’agit de montrer que derrière le concept, derrière l’idée, derrière l’innovation, il y a de l’argent, élément primordial pour tout investisseur en capital-risque.

Comment la traverser ?

Pour poursuivre cette métaphore, un des premiers conseils est de partir avec de l’eau, beaucoup d’eau. La levée de fonds doit inclure une marge de sécurité afin de ne pas se retrouver à court durant le trajet. Ainsi, se reposer uniquement sur des business angels peut-être dangereux et il devient alors intéressant de faire également appel, par exemple, au fonds national d’amorçage qui peut faire office de réserve.

L’équipement des entrepreneurs doit évidemment être de qualité sans quoi la traversée devient un enfer. Avant une première levée de fonds il est donc essentiel d’avoir un produit fini, sans bug, prêt à la vente, pour ne pas avoir à rebrousser chemin en plein milieu et revenir à la case départ. L’équipe technique doit donc également être prête à l’arrivage massif de capital pour pouvoir faire face immédiatement à la nouvelle situation induite par la levée.

Un dernier conseil est de se concentrer sur chaque pas et non sur la  ligne d’arrivée de la traversée. L’important étant de signer et non de signer gros afin d’apporter des preuves de business.

Bpi France : une oasis bienveillante

Le réseau Entreprendre, Bpi France et la Caisse des Dépôts ont crée la solution pour les entreprises amenées à traverser la vallée de la mort. Avec cet accompagnement, les petites entreprises qui souhaitent grandir (cent par an à terme) bénéficieront de prêts participatifs jusqu’à 300.000€ et d’une aide pour créer une réelle stratégie.

Comment y prétendre ? Le financement Start-up n’est pas leur but. Il faut : prévoir de tripler ses effectifs pour atteindre plus de 50 employés d’ici à trois ans et afficher un bilan positif ainsi qu’une viabilité économique.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bonne chance pour votre traversée.

 

 

La diminution des levées de fonds inquiète

La diminution des levées de fonds inquiète

Ce sont quelques 3,6 milliards d’Euros qui ont été levés le semestre dernier par les LPs français ce qui ne rassure pas les acteurs du monde des PME et ETI.

Avec 2 milliards d’Euros récoltés par le seul Ardian (anciennement Axa Private Equity), force est de constater l’effondrement des collectes des sociétés de capital-investissement. Entre 2005 et 2008, ce montant s’élevait en moyenne à 10,5 milliards d’Euros par an. Il y a de quoi être inquiet, d’autant que le besoin annuel en fonds propres des PME et ETI françaises est estimé à 11 milliards d’Euros.

Les acteurs institutionnels français en recul.

Les assureurs, les mutuelles ou encore les caisses de retraite ont collecté un peu plus de 50% des fonds. C’est environ 10 points de moins qu’avant la crise. Les seuls qui parviennent à se maintenir à flots sont les Family Offices. Si les compagnies d’assurance/mutuelles françaises ont fourni plus de 650 millions d’Euros le dernier semestre, ce n’est que sur un nombre restreint d’opérations et bien souvent afin de financer leurs propres filiales non-cotées. La porte s’ouvre donc petit à petit aux investisseurs étrangers, qui, du fait de la pénurie de capitaux français, ont pu tisser des liens avec les sociétés de gestion demandeuses de fonds.

Le capital-développement chute, le capital-risque résiste.

Les investissements en capital-investissement paient le prix de 5 années de marasme: si le montant augmente par rapport au premier semestre 2012 (2,6 millions d’Euros contre 2,3 millions) nous sommes encore loin des 5 milliards du premier semestre 2008. Outre le montant, le nombre d’entreprises financées chute également. Et c’est le capital-développement qui est principalement touché, tandis que le capital-transmission et le capital-risque progressent en montant (+50% pour le premier et +20% pour le second par rapport au premier semestre 2012).

Quelle solution pour les investisseurs?

Il s’agirait ici d’orienter l’épargne vers le financement des PME, ETI ou Start-up, et ce le plus rapidement possible car l’épuisement des fonds disponibles est en train de briser une dynamique qui était l’apanage du Private Equity français. Mais comment trouver les 5 milliards d’Euros manquants au capital-investissement? Louis Godron, président de l’Afic, ainsi que les rapports Gallois et Berger-Lefebvre, préconisent d’utiliser une partie de l’assurance-vie française dans l’économie réelle, ce qui remettrait l’épargne des particuliers au service de notre économie. Attendons de voir si le prochain Projet de Loi de Finances Rectificative 2014 est du même avis.

Avec Carmine Capital, le développement de Boticca s’accélère avec l’acquisition de L’Atelier de la Mode

Avec Carmine Capital, le développement de Boticca s’accélère avec l’acquisition de L’Atelier de la Mode

Créé en 2008 par Jonathan Lipfeld, L’Atelier de la Mode a été racheté par le site de vente en ligne d’accessoires basé en Angleterre Boticca. Cette opération a été originée grâce à l’accompagnement de Carmine Capital. Le fondateur de Boticca, qui souhaitait accélérer le développement de son entreprise, a estimé que s’adosser à un des acteurs montants du e-commerce de mode était la meilleure option. Fort de sa base de 100 000 clients, L’Atelier de la Mode constitue un premier pas dans la volonté de croissance externe et d’internationalisation de Boticca et Carmine se félicite d’avoir conseillé le dirigeant Jonathan Lipfeld dans la cession de sa PME.

Les deux fondateurs franco-iraniens de Boticca expliquent que commencer leur expansion par la France leur semblait logique : elle représente leur premier marché non anglophone et le quatrième en terme d’importance après les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie. Cet achat d’entreprise intervient suite à la levée de fonds de 4 millions de dollars pour Boticca. La marketplace, qui emploie une vingtaine de personnes, s’affirme donc encore un peu plus comme un incontournable de la vente de bijoux et autres accessoires sur Internet.

Carmine Capital

Grâce à son expertise et à ses outils technologiques, Carmine Capital accompagne start-ups et petites entreprises dans leurs projets de levée de fonds, cession ou acquisition.

Le private equity ne fait plus peur aux investisseurs institutionnels

Le private equity ne fait plus peur aux investisseurs institutionnels

Le capital-investissement européen semble avoir regagné la confiance des investisseurs puisque plus des 3/4 d’entre eux lui imaginent un avenir plein d’opportunités et de dynamisme.

Coller Capital vient de publier son dernier baromètre international du capital-investissement. Interrogés en 2013, 1/4 des investisseurs institutionnels prévoit de renforcer l’allocation en private equity alors que ces dernières années étaient marquées par une tendance inverse. Et pour les plus sceptiques d’entre vous, ce sentiment général se retrouve également si l’on observe la part de ces investisseurs qui souhaite diminuer l’allocation en private equity : de 14% en 2012, elle est passée à 10% en 2013.

«Il n’y a pas de quoi fouetter un chat», me répondront encore une fois les plus pessimistes. Et vous n’auriez pas tort si les prévisions de bon augure s’arrêtaient ici. Cependant, encore une fois, plus des 3/4 des investisseurs estiment que des opportunités d’investissement attrayantes se profilent à l’horizon 2014-2015 : que demander de mieux après deux années de marasme à tous niveaux et de crainte d’un effondrement de la zone Euro.

Et ce sont surtout les produits de dette qui intéressent les LPs au niveau mondial, avec une préférence tout de même pour les fonds de dette privée : plus de la moitié des investisseurs interrogés ont investi ou prévoient de le faire et ce malgré l’arrivée récente de ce genre de produits.

Inversement, les grosses opérations de LBO semblent faire moins d’émules puisque seuls 12% des LPs vont s’y exposer davantage selon l’étude.

 

Vendre sa start-up : mode d’emploi

Vendre sa start-up : mode d’emploi

Comment un entrepreneur doit-il vendre sa start-up ? Quel est le meilleur moyen de lever des fonds ? Voici un petit guide pratique.

Au moment d’une levée de fonds, le patron d’une start-up doit déjà s’être mis dans un certain état d’esprit : vendre son entreprise mettra un chiffre sur le travail qu’il a pu fournir et déterminera le développement futur de sa société.

Mais la question préalable est : pourquoi vendre ? Un entrepreneur passionné et investi ne pourrait répondre que l’argent est son unique motivation. Le but est, en règle générale, de s’élever encore plus, d’atteindre le palier supérieur et ce grâce à un acquéreur qui souhaite rejoindre une aventure qui l’attire.

Un autre enjeu pour l’entrepreneur est de savoir s’entourer. Afin de vendre sa start-up de la meilleure des manières, il doit avoir autour de lui un bon avocat d’affaires, un bon banquier d’affaires et un gestionnaire de patrimoine qui lui montera le meilleur schéma fiscal dans la perspective d’une cession. Il peut également être utile de se payer les services d’une agence de relations publiques quelques mois avant la vente afin de bénéficier de son carnet d’adresses et de ses compétences en matière de communication.

L’étape suivante de cette volonté consiste en trouver le meilleur moyen de lever des fonds. Une pratique qui va revenir à la mode dans les prochains temps est l’IBO (l’introduction boursière), et ce notamment grâce à la plateforme Alternext qui permet aux PME de lever des sommes inférieures à 10 millions d’Euros. Cependant cette pratique peut s’avérer lourde de conséquences (notamment bureaucratiques) et c’est pourquoi certains entrepreneurs lui préfèrent la levée de fonds en late stage (càd après la production des premières séries ou après les premières ventes) ou la vente partielle à un fonds d’investissement en amorçage afin de booster le développement de la start-up. Notez cependant qu’il faut garder une certaine cohérence : il faut savoir privilégier les fonds qui sont en rapport avec le stade de développement de la start-up et il ne faut pas chercher à lever trop de fonds trop rapidement sous peine de rencontrer des difficultés par la suite.

Un autre enjeu de la vente de start-up consiste en la validation de son modèle économique. Si l’entrepreneur décide de vendre sa start-up trop tôt avant d’avoir pu valider son modèle économique, l’acquéreur va utiliser un montage financier moins profitable au vendeur (grâce à un earn-out par exemple) afin de sortir moins de cash le jour de la vente et de conditionner la sortie du reste à la bonne marche de l’entreprise dans le futur. De ce point de vue il peut donc être intéressant d’identifier le plus tôt possible les investisseurs potentiels afin que ceux-ci bénéficient d’un laps de temps suffisant pour accorder leur confiance à l’entrepreneur désireux de leur vendre sa société et ne pas lui imposer des conditions de vente trop sévères.

Une fois le mécanisme de vente lancé, l’acquéreur et le cédant doivent négocier la garantie d’actif et de passif. Il s’agit pour l’acheteur de se prémunir contre le risque d’une diminution de l’actif ou d’une augmentation du passif après la vente de la start-up et de garantir une indemnisation en cas de préjudice. Il faut donc s’accorder sur les montants d’indemnisation, sur la durée de la GAP ainsi que sur la garantie de la garantie (mise sous séquestre du montant de la vente le temps de la durée de la GAP, garantie bancaire etc.).

Les risques de la cession d’entreprise

Les risques de la cession d’entreprise

La cession de société n’est pas chose simple et nécessite une bonne connaissance du processus d’évaluation, de vente ainsi que des écueils à éviter.

Lorsqu’un patron désire vendre son entreprise, il s’offre tout d’abord les services d’un cabinet qui servira d’intermédiaire entre la société et les éventuels acquéreurs, confie l’élaboration du montage financier à son expert-comptable et se rapproche d’un avocat d’affaires qui s’occupera du montage juridique ; Le tout étant d’approcher au plus proche le prix demandé par le cédant tout en profitant d’un maximum d’avantages fiscaux. Mais de quelle manière le cédant et le cessionnaire peuvent-ils se prémunir des nombreux risques qu’implique la reprise d’entreprise?

Le patron-vendeur constitue une « data room » physique ou électronique dans laquelle il stocke toutes les informations internes à son entreprise et nécessaires à sa présentation. Après avoir signé un engagement de confidentialité, les potentiels acquéreurs ont accès à cette « data room » et y laissent une trace dès qu’ils la consultent. Le cédant conserve ainsi la preuve des passages des investisseurs et des remarques qu’ils peuvent formuler lors de ceux-ci.

Mais l’acquéreur possède également des boucliers de protection. Un aspect délicat de la transmission d’entreprise est l’asymétrie d’informations. En effet, le cédant ne peut mettre à disposition de l’acquéreur tous les documents confidentiels de l’entreprise. Mais la question qui se pose alors pour l’investisseur est : ne me cache-t-on pas quelque chose de primordial ? La garantie de passif permet de définir dans quels cas le vendeur est responsable d’une augmentation du passif de la société ou d’une baisse de son actif (dès lors que celles-ci ne sont pas inhérentes au secteur d’activité de l’entreprise) et repose sur les éléments comptables et sur les déclarations orales du vendeur. Ainsi, s’il décide de s’en servir, le vendeur voit le prix de vente de sa société diminuer (veiller donc à la mise sous séquestre du prix d’achat ou à la garantie bancaire à première demande pour éviter l’insolvabilité du vendeur). Notez que le cédant peut également utiliser cette garantie de passif en cas de tentative de dol de la part de l’acquéreur.

Dualo lève des fonds avec Carmine Capital

Dualo lève des fonds avec Carmine Capital

Conçu par Jules Hotrique et Bruno Verbrugghe, deux scientifiques français passionnés de musique, le Dualo du-touch est un nouvel instrument de musique électronique composé de deux claviers séparés rassemblant des notes complémentaires dont la disposition a été minutieusement pensée pour un résultat d’une musicalité et d’une harmonie optimales.

Suite au succès rencontré par leur invention, les deux cofondateurs, ont sollicité les services de Carmine Capital afin de lever les fonds nécessaires à leur développement. C’est ainsi que des Business Angels ont eu vent de Dualo et ont investit leur confiance et près de 300k€ dans l’aventure. Grâce à cette levée de fonds, la PME a pu constituer une équipe d’experts compétents et désireux de faire valoir les atouts technologiques et musicaux de cet instrument.

 

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